Le président de l’Ordre, M. Alain Bibeau, souligne :
« Je salue cette initiative de recherche inédite entreprise par cette équipe de recherche d’envergure composée de cinq chercheuses ergothérapeutes. La pertinence de leurs travaux est évidente, ces derniers s’inscrivant directement dans la foulée des changements législatifs des dernières années visant à lutter contre la maltraitance envers les aînés en situation de vulnérabilité. Cette pertinence est d’autant plus importante que le contexte actuel de la crise sanitaire a mis au grand jour encore plus cruellement des situations intolérables et inacceptables dévoilant ainsi tout le travail qu’il reste à faire pour contrer cette maltraitance. »
La genèse de ce projet repose sur les témoignages de plus de soixante-dix ergothérapeutes cliniciens et gestionnaires qui travaillent auprès des aînés dans le réseau public et privé de la santé. En effet, ces ergothérapeutes ont à l’origine pris part à des entretiens qualitatifs pour discuter des enjeux éthiques qu’ils vivent dans leur pratique professionnelle concernant la maltraitance.
Enfin, dans sa mission de protection du public, l’Ordre considère que ce genre d’initiative de recherche doit être encouragée, car elle pourrait permettre le développement de solutions porteuses pour l’avenir.
1 Marie-Josée Drolet, erg., Ph. D., professeure au département d’ergothérapie de l’UQTR. Ergothérapeute, éthicienne et chercheuse principale dans ce projet
Marie-Michèle Lord, erg., Ph. D., professeure au département d’ergothérapie de l’UQTR
Mélanie Ruest, erg., Ph. D., postdoctorante au département d’ergothérapie de l’UQTR
Chantal Viscogliosi, erg., Ph. D., professeure à l’École de réadaptation de l’Université de Sherbrooke
Chantal Pinard, erg., M. Sc., professionnelle de recherche à l’UQTR
En savoir plus :
Vidéo de présentation du projet
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